27/03/2006
Il pleut ...
J'écris ces lignes alors qu'il pleut sur le Caire... Pas une ondée discrète et furtive, comme c'est trop souvent le cas, mais une pluie vive et puissante. Cela à commencé il y a bientôt deux heures et j'en apprécie chaque seconde. Les voitures passent, dehors, dans les flaques, et il me semble redécouvrir ce son sympatique et lointain. Il manquerait peut-être le bruit de l'orage, mais faudrait voir à n'en pas demander trop :)
J'ai ouvert grand les fenêtres, et en fermant les yeux, c'est un peu de la France que je respire...
J'aime la pluie. La pluie me manque. Vraiment.
(Mon neveu Victor, Marchaux, août 2003 ; Il n'avait pas plu depuis des mois !)
21:35 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : perso, france, photo
Commentaires
A moi aussi, la pluie me manque. Ces deux derniers jours ont été spéciaux pour moi aussi, un mélange de nostalgie de la France mêlé à la rareté du phénomène en Egypte. Je me souviens de mon premier mois en Egypte, au mois d'août, le plus chaud des mois, je me réveillais la nuit croyant entendre la pluie, j'allais sur le balcon pour constater qu'il n'en était rien. C'est pour moi un manque bien plus cruel que celui du bon vin, des bons fromages, des machines à laver qui éssorent bien.
Le ciel gris, le ruisselement de l'eau dans les goutières, les tonnements de l'orage...
Ce matin, Downtown, j'avais la main qui voulait saisir intuitivement mon parapluie canne noir laissé biensur en France, si je l'avais déployé, je crois que toute la rue aurait hallucinée.
Écrit par : Marie | 29/03/2006
A moi aussi, la pluie me manque. Ces deux derniers jours ont été spéciaux pour moi aussi, un mélange de nostalgie de la France mêlé à la rareté du phénomène en Egypte. Je me souviens de mon premier mois en Egypte, au mois d'août, le plus chaud des mois, je me réveillais la nuit croyant entendre la pluie, j'allais sur le balcon pour constater qu'il n'en était rien. C'est pour moi un manque bien plus cruel que celui du bon vin, des bons fromages, des machines à laver qui éssorent bien.
Le ciel gris, le ruisselement de l'eau dans les goutières, les tonnements de l'orage...
Ce matin, Downtown, j'avais la main qui voulait saisir intuitivement mon parapluie canne noir laissé biensur en France, si je l'avais déployé, je crois que toute la rue aurait hallucinée.
Écrit par : Marie | 29/03/2006
A moi aussi, la pluie me manque. Ces deux derniers jours ont été spéciaux pour moi aussi, un mélange de nostalgie de la France mêlé à la rareté du phénomène en Egypte. Je me souviens de mon premier mois en Egypte, au mois d'août, le plus chaud des mois, je me réveillais la nuit croyant entendre la pluie, j'allais sur le balcon pour constater qu'il n'en était rien. C'est pour moi un manque bien plus cruel que celui du bon vin, des bons fromages, des machines à laver qui éssorent bien.
Le ciel gris, le ruisselement de l'eau dans les goutières, les tonnements de l'orage...
Ce matin, Downtown, j'avais la main qui voulait saisir intuitivement mon parapluie canne noir laissé biensur en France, si je l'avais déployé, je crois que toute la rue aurait hallucinée.
Écrit par : Marie | 29/03/2006
Les commentaires sont fermés.